Les principaux avantages de l’e-learning

L’e-learning procure divers avantages. De plus, elles offrent de nombreuses possibilités. Contrairement aux formations ordinaires, il est possible de suivre des formations toute l’année. Elles sont souvent gratuites et accessibles à tout le monde. Il est possible de suivre une formation au moment où cela vous arrange. Vous pouvez étudier à l’heure qui vous convient selon votre disponibilité. Les cours en ligne sont accessibles 24 h/24 et 7jours/7. Avec la fonction « replay », on a la possibilité de s’arrêter et de reprendre à n’importe quel moment. Si vous avez plus de temps libre, vous pouvez aussi accélérer la cadence si vous le souhaitez.

Quels sont les inconvénients de l’E-learning ?

On se demande souvent si les diplômes en ligne valent quelque chose. En effet, beaucoup de formations en ligne offrent des diplômes agréés et valables pour les grandes entreprises. Mais les efforts pour être diplômé en ligne ne sont pas faciles à réaliser. Il faut avoir une grande motivation. Le manque de motivation est le premier frein pour la plupart des étudiants et des formateurs. La présence du tuteur et de la promo peut aider à se motiver. Mais, avec l’e-learning, on est seul devant l’ordinateur. Il est possible d’avoir un problème de disponibilité. Pour certaines personnes, rester se concentrer sur le contenu proposé n’est pas une chose aisée. Pour réussir aux études en ligne, le participant doit maîtriser tous les outils techniques sur lesquels les modules sont présentés. Suite aux informations mal communiquées des responsables en matière de formation digitale, l’e-learning a une mauvaise réputation.

Appréhender sa motivation avec quelques questions

Pour déterminer si le futur candidat est vraiment motivé à rejoindre votre établissement, organisez bien les étapes de l’entretien d’embauche en commençant par établir les questions à poser en début de l’entretien. Elles sont importantes, car elles doivent vous aider à briser la glace. Voici quelques possibilités :

• Vous pouvez dans un premier temps l’amener à se présenter :

Vous allez découvrir durant cette partie son état émotionnel et les informations essentielles le concernant, comme sa personnalité ou les traits de caractère qu’il met en accent, sa manière de synthétiser et de structurer ses expériences professionnelles passées.

• Invitez-le à expliquer pourquoi il a quitté son poste actuel :

Ce qui vous permet de déterminer les situations professionnelles qui ne le mettent pas à l’aise et les difficultés qu’il a du mal à affronter. Vous pourrez avoir un aperçu de sa fiabilité. Vous allez voir également comment il peut se concentrer sur les expériences positives.

• Demandez-lui les raisons qui l’ont incité à postuler chez vous :

S’intéresse-t-il à votre structure ?
Comprend-il bien les enjeux du métier qu’il va exercer ?
Qu’en est-il de sa capacité à faire la connexion entre son ancienne fonction et le poste à pourvoir ?

• Laissez-le vous décrire la fonction à pourvoir :

Cela vous aide à connaître ses atouts et à voir s’il comprend bien ses nouvelles missions.

Évaluer ses compétences avec quelques interrogations

Maintenant, il est temps pour vous d’approfondir l’échange. Comment découvrir que le nouveau talent possède les compétences et les qualifications requises pour faire partie de votre équipe ? Durant l’entretien d’embauche, vous pouvez le questionner sur :

• Ses missions au sein de votre société :

Laissez-le vous décrire son rôle pour voir s’il le connaît bien et qu’il comprend ce que votre entreprise attend de lui. Déterminez en outre s’il a la capacité de se projeter dans son nouveau milieu de travail, ce qui vous assure qu’il n’a pas postulé par hasard.

• Ses qualifications et ses savoir-faire :

Ici, vous devez préparer une série de questions sur son domaine d’expertise pour découvrir s’il a les capacités pour réaliser les tâches qui vont lui être confiées. S’il arrive à cerner chaque problème, à proposer des solutions et à mettre en lumière les points essentiels sur vos produits et votre marque, vous pouvez être sûr que le poste lui convient.

Vérifier la compatibilité du postulant avec votre équipe

Vous avez vu que la personne intéressée au poste que vous proposez a les compétences requises. Vous avez aussi constaté qu’elle est vraiment motivée à rejoindre votre entreprise. Mais est-elle compatible avec votre équipe ? Pour avoir une idée sur ce point, au cours de l’entretien d’embauche, vous pouvez l’interroger sur :

• Ce que pense son employeur actuel d’elle :

Elle va vous décrire comment sa hiérarchie actuelle voit ses qualités et comment est sa relation professionnelle avec son/ses dirigeants actuels.

• Ses qualités que ses anciens collègues appréciaient :

Si elle a une bonne relation avec son équipe actuelle, elle va s’intégrer facilement à la vôtre. Ainsi, l’ambiance saine au sein de votre établissement va favoriser la productivité de chacun.

Après ces questions ou pour diluer un peu l’échange, vous pouvez exposer la culture de votre entreprise. Vous pouvez également parler de quelques détails entourant le poste, comme les horaires de travail, la rémunération, les outils nécessaires pour réaliser les tâches, la prise de congé, etc.

Les missions du Game designer

Un jeu vidéo intéressant doit être captivant et esthétiquement bien réalisé. Quand on y joue, on doit sentir l’intrigue et avoir envie de passer d’une étape à une autre, sans jamais s’arrêter. Derrière un tel jeu, il y a un Game designer au savoir-faire exceptionnel. Ses missions ? Il participe d’abord à la préproduction du projet. Pour cela :

• Il identifie le public cible auquel le jeu va s’adresser et trouve une histoire intéressante.
• Il contribue à définir la charte graphique du jeu.
• Il rédige un cahier des charges.
• Il élabore la structure du jeu : ici, il intègre les contraintes graphiques et techniques imposées au jeu. Il y ajoute également les recommandations graphiques et sonores.

Le professionnel passe ensuite à la réalisation du jeu :
• Il conçoit son environnement : il s’assure que celui-ci soit fluide et ludique.
• Il crée les personnages du jeu.
• Il cherche des énigmes à y mettre.
• Il y ajoute les niveaux.

Puis, il teste le jeu ou le fait tester. Cette étape lui permet de détecter ses dysfonctionnements. Enfin, il corrige les erreurs et apporte des améliorations au jeu.

Les qualités que le Game designer doit avoir

L’élaboration d’un jeu vidéo est effectuée par de nombreuses personnes. Il passe entre les mains d’un chef de projet, d’un graphiste, d’un illustrateur sonore et d’un animateur. Raison pour laquelle un Game designer doit savoir travailler en équipe. S’il veut évoluer dans le game design, il doit également faire preuve de créativité.

Le concepteur de jeux vidéo doit également avoir de la rigueur et certaines compétences en synthèse et en analyse. La maîtrise des logiciels de programmation, de modélisation et d’animation est aussi un prérequis. Et bien évidemment, il doit parler anglais. C’est en effet le langage universel dans les jeux vidéo.

Les formations à suivre pour devenir Game designer

La France compte plusieurs établissements proposant des formations sur le game design. Les jeunes ont notamment le choix entre :
• Se spécialiser auprès d’une école de jeux vidéo, comme ECV, école design, digital, animation et game.
• Réaliser un BTS design graphique ou décrocher un BUT informatique parcours réalisation d’application.
• Rejoindre des écoles d’ingénieurs ou de graphisme : ils peuvent dans ce cas choisir l’option design numérique ou se spécialiser en jeu vidéo.

Combler votre connaissance linguistique

La communication est un élément considérable pour réussir dans le milieu professionnel. En maîtrisant au moins deux langues, vous vous donnez des chances par rapport aux différentes opportunités professionnelles. Certes, il est possible d’apprendre une langue étrangère via Internet ou dans les cours en salle. Pourtant, il est plus simple et plus rapide de maîtriser une nouvelle langue, en séjournant dans le pays où il est pratiqué et où il est parlé au quotidien.

Se familiariser avec une autre culture

En séjournant dans un pays étranger et en côtoyant le quotidien des résidents, vous allez découvrir une autre culture. Cela peut engendrer un choc au début, mais la situation vous apprendra à vous adapter à l’environnement dans lequel vous allez vivre durant quelques années. Vous pouvez faire une comparaison entre les deux cultures. Vous obtiendrez ainsi de nouvelles références qui pourront vous servir pour les années à venir.
En même temps, vous pouvez découvrir une autre manière de traiter une discipline. En effet, durant vos études sur place, vous avez la chance de vous accoutumer à d’autres techniques de travail. Vous allez également apprivoiser de nouvelles pratiques.

S’enrichir sur le plan personnel et humain

Par ailleurs, faire vos études à l’étranger vous permettra d’optimiser votre confiance en soi. En effet, vous allez vivre une expérience unique et enrichissante, car vous serez livré à vous-même loin du cocon familial. En effet, sortir d’un contexte familier vous permet de vous renforcer et de vous rendre plus mature. En d’autres mots, vous êtes plus responsable et vous gagnez en autonomie.

Microsoft Power BI, c’est quoi ?

Avant de commencer votre formation Microsoft Power Business Intelligence, il est impératif de savoir ce que c’est. C’est un outil qui vous permet d’analyser les données de votre entreprise. Cet outil a été mis en place par Microsoft afin de centraliser dans un environnement unique toutes les informations que vous utilisez. Avec cet outil, vous pouvez facilement accéder à toutes vos données où que vous soyez, et cela en temps réel. Il facilite le partage d’informations et de données au sein de vos équipes. C’est donc un outil multiplateforme que vous pouvez utiliser sur ordinateur, sur tablette ou sur mobile.

Le Power BI est un outil statistique de référence dans le reporting interactif. C’est un outil complet et intuitif. En suivant une formation Microsoft Power BI, vous acquérez des connaissances vous permettant d’utiliser facilement Excel et ses extensions BI. Avec cet outil, vous avez également la possibilité de communiquer et partager vos travaux à votre équipe.

Conseils pour choisir votre formation Power BI

La première question que vous devez vous poser avant de choisir une formation Power BI est l’expertise de votre formateur. Vous devez connaître si le formateur est un expert Power BI et s’il a de l’expérience.

Connaître le programme de votre formation Microsoft Power BI est également essentiel. Puisque c’est un outil complet, vous devez choisir à l’avance la formation répondant le plus à vos besoins. Si vous suivez la formation dans l’unique but de créer des visuels à partir de données préconçues alors votre formation devrait s’orienter dans ce sens. En effet, les centres de formation proposent des formations modulables vous permettant de choisir celle qui vous concerne le plus et qui répond à vos besoins.

Mype, une société pionnière dans l’utilisation de cet outil, propose une formation Power BI. L’avantage de cette formation dispo chez Mype est que vous serez épaulé par des consultants certifiés en la matière, car c’est un organisme Microsoft Partner. En vous formant auprès de spécialistes, vous pouvez découvrir de nombreux cas d’usage. La formation qu’elle propose est éligible au CPF. Le coût de la formation est compris entre 500 euros à 2 200 euros. Ce dernier dépend de votre niveau en tant que débutant, initié, spécialiste ou expert.

Vous avez également le choix entre suivre la formation en présentiel ou à distance. L’autre atout de Mype, c’est que vous avez le privilège d’essayer et d’utiliser directement l’outil grâce à la pédagogie « learning by doing » ou l’apprentissage par la pratique. Ce qui facilite grandement l’apprentissage. De plus, la formation proposée par Mype se fait par groupe limité à 5 participants, toujours dans le but de vous permettre d’améliorer vos compétences.

Les fonctions principales d’un aide-soignant

Ses missions se concentrent sur l’accompagnement des patients dans leur quotidien. On parle d’hygiène corporelle, d’aide aux déplacements pour ceux qui n’ont plus ses aptitudes motrices, et de prise de repas. Lorsque la personne perd de toute son autonomie, l’aide-soignant prend en charge les tâches ménagères.
Dans son rôle médical, l’aide-soignant surveille constamment l’état des patients qui souvent subit des changements brusques. Il interviendra en appelant aussitôt le référent médical. Parmi ses fonctions, il vérifie les paramètres vitaux des patients, en veillant à ce que les appareils soient fonctionnels dans le centre. Quelquefois, il s’occupe de l’administration des médicaments, ou procède dans l’attribution des différents soins, comme pour changer les pansements. L’aide-soignant exerce ses fonctions au sein d’une résidence médicalisée, dans un centre hospitalier, ou à domicile. On les trouve dans les milieux psychiatriques, dans les centres de rééducation, et naturellement là où les personnes âgées ont besoin d’assistance en permanence.

Les qualités pour devenir aide-soignant

Être aide-soignant, c’est avant tout être à l’écoute des patients, cerner leurs besoins, et réagir en fonction de leurs demandes. Il convient donc de rester disponible, de s’engager, tout en ayant envie d’aider les malades. Cette profession demande de l’organisation dans son calendrier, puisqu’il s’agit de connaître les priorités dans le métier. Une grande résistance physique, mais aussi un mental digne d’un vrai combattant permettent de jongler entre l’insomnie, la perte d’un patient, et surtout de mettre de l’ordre dans sa vie personnelle.

Etudes et formations

Titulaire d’un diplôme d’Etat d’aide-soignant DEAS de niveau V, et avant d’obtenir son titre dans le cadre de la santé, l’aide-soignant suivra une formation de 10 à 18 mois. Ensuite, les semaines de stages vont s’enchaîner. L’enseignement se focalise généralement sur l’accompagnement des patients, la communication, l’hygiène et la propreté, les différents soins, etc. Par ailleurs, les stages permettent de se familiariser avec toutes les structures sanitaires : service de psychiatrie, chirurgie, résidence pour les séniors. La formation fera l’objet de plusieurs évaluations, tandis que les résultats déterminent l’obtention d’un diplôme. Toutefois, certains établissements suggèrent un accompagnement à la VAE à condition d’avoir minimum 3 ans d’expérience, suite à quoi le DEAS se fera valider.

UN CDD

Comme son nom l’indique, le CDD est soumis à une durée déterminée. Le contrat se termine à l’échéance donnée par le recruteur. Il exécute son rôle temporairement dans l’établissement. La durée de son activité se limite à un délai prédéterminé, délai qu’il a accepté. Parfois, l’agent en CDD est en remplacement d’un travailleur absent pour cause de maladie, de congé ou un tout autre motif. Il peut y avoir deux types de CDD : le CDD à un terme précis et sans termes précis. Selon l’article L1242-8-1 du code de travail, un CDD dure en principe 18 mois. Le contrat à terme peut être renouvelé ou pas.

UN CDI

C’est le contrat le plus recherché dans le monde professionnel. Le CDI est acquis comme la forme accomplie d’un contrat de travail. Le mandat d’un CDI est sans durée et n’a aucune limite. Le contrat d’un CDI prend fin à la retraite ou pour une décision personnelle du salarié, mais il peut aussi être rompu par l’employeur sous certaines conditions dûment stipulées dans le contrat.

Le protocole pour qu’un CDD devient un CDI

Pour qu’un CDD passe au rang de CDI, il doit avoir l’ancienneté dans la compagnie. Quand l’employé reste plus longtemps après l’expiration de son entente, il devient automatiquement un agent CDI. Le contrat CDD ne pouvant être rallongé, l’employeur est obligé de changer le contrat s’il veut garder le salarié à son service, de ce fait le CDD devient CDI. Ce transfert de statut exige cependant certains changements. L’employeur peut choisir de garder l’ancien contrat et y apporter des avenants. Dans d’autres cas, un nouveau contrat est soumis au salarié afin qu’il le signe pour conclure sa transition en tant que CDI.

Un expert-comptable spécialisé pour assurer les obligations de l’organisme de formation sur le plan de la comptabilité

Un organisme de formation est une entreprise. En tant que tel, il a des obligations, notamment en matière de comptabilité. Pour assurer ces obligations, mieux vaut se faire accompagner par un expert comptable spécialisé organisme de formation.

Pour nommer facilement le commissaire aux comptes

Un organisme de formation qui comptabilise un bilan de 230 000 euros ou plus et qui emploie au moins 3 salariés a l’obligation de nommer un commissaire aux comptes. Si cette obligation n’est pas respectée, l’organisme risque des sanctions pénales et administratives.
Pour nommer correctement et facilement votre commissaire aux comptes, faites-vous aider par un expert-comptable spécialisé dans les organismes de formation. Sachez que les rôles de l’expert-comptable ne s’arrêtent pas à cette nomination. Il peut aussi vous aider dans la création du BPF et d’un plan comptable adapté.

Pour établir correctement un BPF ou t

Un organisme de formation doit faire un bilan pédagogique et financier (BPF) tous les ans. C’est une obligation qui conduit à des sanctions sévères si elle n’est pas respectée. Le BPF est un document comptable. Il présente les activités exercées par l’entreprise.
Le BPF doit être complété et envoyé à la Direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (DREETS). Même les dispensateurs de formations qui exercent à titre accessoire doivent remplir et envoyer ce document. Avec un expert-comptable spécialisé, il sera facile d’effectuer cette tâche.

Pour créer un plan comptable adapté à un organisme de formation

Un organisme de formation professionnelle doit mettre en place un plan comptable spécifique en fonction des activités qu’il exerce. Les lignes comptables à créer dépendent du type d’entreprise que vous avez : exercez-vous une activité unique ou vendez-vous plusieurs prestations ?).
À noter aussi que le PCG de l’entreprise doit obligatoirement être accompagné par des annexes comptables pour prouver la provenance de certaines sources d’argent. L’expert-comptable spécialisé en organisme de formation peut vous aider et vous conseiller sur le plan comptable le plus adapté à l’entreprise que vous avez créée.

Pour assurer la gestion fiscale et comptable de l’organisme de formation

En plus de vous aider à assurer vos obligations en tant qu’organisme de formation, un expert-comptable spécialisé vous aide, vous conseille et vous accompagne dans tout ce qui touche le côté fiscal et comptable. Il pourra par exemple vous conseiller sur la demande d’exonération de TVA, sur la possibilité de proposer des activités de conseils, sur le suivi de la comptabilité, etc.
Avec un expert-comptable spécialisé dans les organismes de formations, vous pourrez aussi vous décharger de certaines tâches comme la déclaration d’activité, le dépôt de BPF, la mise en place d’outils pour le suivi des comptes, et bien d’autres encore.

Pour se faire aider et conseiller dans le cadre de l’organisation de la structure et de sa gestion

Un organisme de formation doit organiser correctement le volet administration des affaires. Il faut faire un suivi administratif, mais cela peut prendre du temps. Un expert-comptable spécialisé peut vous aider et vous conseiller afin de vous permettre de trouver un partenaire informatique apte à gérer le côté administratif.
Pour vous aider encore plus dans la gestion et l’organisation, l’expert-comptable spécialisé dans les organismes de formation va mettre à jour régulièrement les données comptables. Grâce à cela, et aux outils qu’il peut vous proposer, vous pouvez faire un suivi et des études analytiques qui permettent de cerner rapidement la situation économique et commerciale de l’entreprise, les dépenses, etc.

Le métier de motion designer

Le métier de motion designer englobe de nombreuses missions. Toutefois, cette profession est fortement liée à l’imagination et à la créativité. Le motion design est la composition d’animations graphiques destinées à un établissement. Pour y arriver, le spécialiste utilise de nombreux outils dont la cinématographie 3D et l’infographie.

Cet art graphique permet aux entreprises d’utiliser une nouvelle génération d’outils de communication pour développer leur portefeuille. Ainsi, ils pourront communiquer avec leurs cibles, de manière à se démarquer de la concurrence et être en adéquation avec l’image corporate qu’elles souhaitent refléter. Le motion designer est donc un graphiste polyvalent qui travaille en se basant sur le cahier des charges envoyé par le client. A cet effet, il est capable de réaliser des :

• animations graphiques de logos ;
• bandes sonores ;
• vidéos corporate à bas d’images assemblées ;
• clips musicaux ;
• génériques de films ;
• vidéos promotionnelles ;
• tutoriels internet ;
• affichages publicitaires.

Les formations pour motion designer

Devenir motion designer est à la portée de n’importe qui, du moment que vous avez suivi la formation adéquate pour maîtriser les outils de travail. Voici le parcours pédagogique à suivre :

• Bac arts appliqués/scientifique/technologique ;
• BTS en Design graphique option communication et médias imprimés ;
• DMA Arts graphiques option illustration.

A partir de ces diplômes, vous pouvez déjà commencer à travailler au sein de grandes entreprises. Toutefois, si vous souhaitez exercer en freelance ou créer votre propre entreprise, il vous faut :

• Un Diplôme en graphisme des grandes écoles dont Créa jeux ;
• Un DNA options communication/design ;
• Une Licence métiers du design.

Pour suivre une formation afin d’intégrer le monde du motion design, rendez-vous sur bigserval.com. Vous y apprendrez, en quelques modules, les outils à maîtriser pour exercer dans le métier et pourrez acquérir toutes les connaissances techniques requises. A la fin de la formation, vous serez apte à créer des vidéos et des textes d’animation d’une qualité professionnelle.

Les débouchés

Généralement, les personnes qui suivent cette voie décrochent des emplois dès la fin des formations et les diplômes en poche. Le métier de motion designer est un métier d’avenir, dans un monde en constante évolution technologique. Raison pour laquelle, de plus en plus de jeunes se tournent vers cette profession, d’autant plus que le taux d’embauche est considérable.

Pour exercer le métier de motion designer, trois choix s’offrent aux candidats :

• Entrer dans une entreprise en tant que salarié ;
• Devenir freelance ;
• Se lancer dans la création d’une start-up.

De ces trois alternatives, la troisième est la plus rentable. Certains n’hésitent pas à quitter le pays pour investir dans des marchés encore inexploités à l’international. Un bon plan qui peut valoir des millions d’euros.

Choisir un contrat selon son statut

Le système en alternance est souvent considéré comme le deuxième choix des étudiants auparavant. Aujourd’hui, il a le vent en poupe. De plus en plus de contrats sont signés tous les ans. Cela a augmenté de 16 % en 2019. Cette formation est accessible auprès des institutions pour le CAP, des universités ou encore des grandes écoles. Pour ceux qui cherchent un emploi, c’est la meilleure alternative. Elle est ouverte aux étudiants entre 15 à 35 ans et dans de nombreux domaines d’activité. Tourisme, financier, art,… le cursus en alternance permet de découvrir plusieurs métiers.

Apprentissage ou professionnalisation ?

Il faut tenir compte de son niveau d’études, de son âge et du diplôme acquis pour trouver le meilleur contrat. Le contrat d’apprentissage est réservé aux étudiants souhaitant poursuivre une formation CAP, détenant un bac ou un DTS. En général, il est conclu pour 6 mois jusqu’à 3 ans, entre les apprenants et leur employeur. La formation doit commencer 3 mois après le début du service dans l’entreprise. Quant au contrat de professionnalisation, il est dédié aux personnes diplômées d’un DTS ou d’une License, ou souhaitant bénéficier d’une formation complète.

Pourquoi choisir une formation en alternance ?

En alternance, les étudiants suivront une formation tout en assurant un emploi à temps partiel dans une entreprise cocontractante. Il y a donc une liaison entre la personne, le Centre de Formation et son employeur. Le cursus classique est associé à une vie professionnelle. L’apprenti sera directement confronté à la réalité du terrain. Il aura l’opportunité de mettre en pratique les connaissances acquises pendant les cours. De cette manière, il sera capable d’appréhender les différents problèmes associés à son secteur d’activité. En somme, il bénéficie d’une pratique solide en plus des cours théoriques.